Saviez-vous que la loi impose une protection antichute pour toute toiture végétale à partir de 2 mètres de hauteur?

IBIC

La protection antichute sur une toiture (végétale) laisse trop souvent à désirer, même si elle est exigée par la loi à partir d’un risque de chute de 2 mètres. « Comme nous sommes spécialisés dans l’aménagement de toitures végétales et les protections antichute pour toitures plates et inclinées, nous pouvons offrir à nos clients une solution complète. Tout en travaillant bien sûr nous-mêmes en toute sécurité », explique Dave Martens, directeur général d’IBIC, spécialiste des toitures végétales et des protections antichute.

La sécurité est par définition un élément essentiel pour toute personne travaillant ou se déplaçant sur un toit. « De plus en plus, les toitures sont librement accessibles et remplies de panneaux photovoltaïques, d’unités de climatisation et d’autres techniques. Il convient dès lors de prendre un minimum de mesures », affirme Dave Martens. « Quand nous attirons l’attention du maître d’ouvrage, du promoteur, de l’entrepreneur ou du syndic d’une association de copropriétaires sur le risque de chute dû à l’absence d’éléments de sécurité, nous sommes toujours en mesure de proposer directement une solution. » Depuis l’acquisition de De Boer en 2018, le savoir-faire de longue date de l’entreprise en matière de systèmes de protection antichute fait partie d’IBIC Safety. Dave Martens : « Nous combinons ainsi deux cœurs de métier complémentaires : l’installation et l’inspection de protections antichute d’une part, et les toitures végétalisées d’autre part. » IBIC peut donc proposer des solutions globales innovantes et de haute qualité.

Un seul interlocuteur pour l’aménagement de la toiture verte et la protection antichute

« Nous voulons soulager autant que possible nos clients pour tout ce qui concerne la toiture verte. Grâce à IBIC Safety, nous allons au-delà de l’installation et l’entretien, pour lesquels nous bénéficions de 25 ans d’expérience. Nos chefs de projet vérifient toujours à l’avance s’il y a une sécurité antichute. Dans l’affirmative, nous nous mettons au travail sans hésiter. En revanche, s’il n’y en a pas, ce qui est le cas dans 5 à 10 % des projets, nous faisons une proposition pour une protection antichute individuelle ou collective pour le toit concerné. Il est important de veiller à ce que tout le monde puisse travaille et circuler en toute sécurité, que ce soit lors de l’installation et de l’entretien de la toiture verte, mais aussi des panneaux solaires ou d’autres techniques. Et comme un seul partenaire peut se charger de tout, c’est un avantage indéniable en matière de responsabilité. »

Beaucoup de systèmes de protection antichute transpercent l’étanchéité de la toiture. « Ici aussi, nous mettons en avant la valeur ajoutée du Groupe SOPREMA, dont IBIC fait partie depuis 10 ans. SOPREMA dispose en effet de Soprasafe, son propre système d’ancrage pour protéger une ou plusieurs personnes travaillant en hauteur. Cet expert en étanchéité et en isolation dispose bien entendu des connaissances et des produits nécessaires pour boucher professionnellement les trous de forage des points de fixation, en utilisant les matériaux adéquats. Quand IBIC est responsable de l’installation du système de protection et des finitions d’étanchéité autour des points d’ancrage, nous en assumons naturellement toute la responsabilité. »

Une vie humaine n’a pas de prix

Il existe deux possibilités : une protection antichute individuelle ou collective. La protection individuelle consiste en des points d’ancrage, des ancrages muraux ou des lignes de vie auxquels une personne s’accroche avec un harnais. « Cela restreint la liberté de mouvement et implique toujours des gestes supplémentaires », précise Dave Martens. « Il est donc plus facile d’opter pour une protection antichute collective afin de pouvoir se déplacer librement sur le toit. En pratique, la protection collective est surtout utilisée sur les bâtiments d’entreprise, car même si elles sont pratiques, ces balustrades ne sont pas toujours très esthétiques. »

Chaque partie tire profit d’une sécurité antichute appropriée. Le maître d’ouvrage est responsable de la sécurité de ceux qui effectuent les travaux, et le syndic est responsable de la sécurité lors des travaux d’entretien. « Mais il est également de notre responsabilité de ne commencer les travaux que si un minimum de mesures de sécurité sont en place, car la sécurité et les vies humaines n’ont pas de prix », conclut Dave Martens.

Le moment est venu de sécuriser vos toitures contre le risque de chute. Discutez-en avec les experts d’IBIC. Contactez-les via le formulaire afin qu’ils vous aident et cherchent avec vous la solution appropriée.

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